LA n°1 : Le loup et l'agneau :
I. Un modèle de construction dramatique
A. un récit très construit
B. un récit bien rythmé
II. Une parodie judiciaire
A. le rôle des personnages
B. le déséquilibre des arguments
C. un jugement biaisé
III. portée universelle de l'apologue
A. un narrateur discrètement présent
B. une moralité universelle et ambigüe
ou :
I.Des personnages en déséquilibre // les ingrédients du conte
1.Un faible stéréotypé
2.Un méchant caricatural
II.Un faux procès
1.Le plaidoyer solide de l'agneau
2.Le réquisitoire injuste du Loup
III.le sens de la fable
1.Le sens de la morale
2.La défaite de la raison sur la violence
3.Pourquoi le Loup cherche-t-il à se justifier ?...
LA n° 2 : Les animaux malades de la Peste :
I- L'art du récit
A.La composition
B. Etude du prologue
II- une satire de la cour
A. Le roi protecteur
B. Le renard : un exemple de flatterie
C. Une progression rapide
III- une parodie de justice
A. L'intervention de l'âne
B. L'accusation du loup
IV. La morale
ou :
I. Une mise en scène théatralisée
A. Une intrigue (la peste // Oedipe-Roi de Sophocle),
B. des personnages tragiques, un dialogue et un choeur (les courtisans)
II. Une histoire simple
A. Un coupable innocenté
B. Un innocent condamné
III. Les enjeux de cette fable
A. Une critique de la Cour
B. Justice et puissance : une morale immorale
LA n°3 : La Mort et le Bûcheron :
I.Une description pathétique
1.une pauvreté physique
2.une pauvreté financière
3.une pauvreté psychologique
II.La discrète présence du narrateur
1.Pour susciter notre compassion ?
2.Pour dénoncer les faits de son époque
3.Pour se moquer des hommes
III.Une généralisation progressive
1.des thèmes universels
2.une généralisation progressive
LA n°4 : Le Chien et le Cheval :
I.Le portrait de Zadig en philosophe
1.sa conception du bonheur
2.son sens de l'observation et de la déduction
II.Un récit divertissant :
1.Un conte oriental
2.Un récit policier
III.La critique de la Justice
1.Un discours rigoureux et convainquant
2.L'ironie au service de la critique
LA n°5 : Le Bûcher
I.Des apologues vivants
1.Des personnages stéréotypés
2.Des situations excessives
II.Une arme : l'ironie
1.Zadig tente de démontrer l'absurdité des coutumes
2.Echec de l'argumentation logique (de la convition)
3.D'où recours à la persuasion
III.La dénonciation du fanatisme religieux
1.Absurdité des arguments de Sétoc et Almona
2.Jugement du narrateur
3.Le portrait de Zadig = un homme éclairé
LA n°6 : L'Ermite
I.Un apologue religieux
1.Un personnage symbolique : l'Ange
2.L'Ange caractérise Dieu
3.L'Ange décrit les hommes (petits et faibles)
II.Un dialogue argumentatif
1.Le point de vue de l'Ange
2.Les hésitations de Zadig
III.La philosophie de l'Ange, de Leibniz
1.L'enseignement de l'Ange
2.La philosophie de Leibniz (= celle de Voltaire jeune)
ou :
I.Une réponse au questionnement de Zadig
1.sur la destinée et l'absence de hasard
2.que la place de l'homme dans l'univers (soumis à La Providence)
3.sur le problème du Mal (Leibniz : le Mal est nécessaire)
II.Un dialogue dynamique
1.des questions / réponses qui éclairent l'oeuvre
2.le déséquilibre des répliques
3.Zadig se soumet-il ?
III.Le rôle de l'Ange
1.Apporter un enseignement à Zadig
2.Eclairer le sens global de l'oeuvre (sur la destinée)
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